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dimanche 29 octobre 2017

CONFERENCE PAR LUCIEN ARIES "LA BATAILLE DE CASTELNAUDARY EN 1211" - 14.10.2017


Brillante Conférence de Lucien Ariès  : LA BATAILLE de 1211

Une fois encore,  le scientifique Lucien Ariès s’est fait Historien en alliant son goût de l’histoire à la maîtrise des illustrations de sa conférence  au moyen de l’ordinateur.

Comme le rappela en introduction le Président, le sujet avait déjà été traité il y a des décennies  par des conférences ou publications en noir et blanc dans les travaux  de l’Abbé  Salvat  ou de Michel Roquebert  par exemple,  mais il leur manquait ces supports actuels liés à l’informatique qui maintiennent parfaitement  l’attention des auditeurs.

Lucien Ariès situa d’abord son sujet : il nous fit remonter au temps de la 4ème Croisade, lors de la guerre des Albigeois,  et précisa ses sources historiques ,  essentiellement la célèbre Canso de Guilhem de Tudèle  ;  il sut coller au texte, sans en perdre une liasse .

En juin 1211, Simon de Montfort avait tenté en vain d’assiéger Toulouse ; une fois le siège levé, il écouta le conseil d’Hugues de Lacy qui lui proposa de choisir une place  assez faiblement défendue afin d’attirer l’armée ennemie  ;  Monfort choisit ainsi Castelnaudarri  ;  du côté des Occitans, Raymond VI, Comte de Toulouse aidé du Comte de Foix et du vicomte de Béarn levèrent une puissante armée  équipée d’armes de sièges impressionnantes,  les mangonneaux et les trébuchets  ; préparés  à assiéger Carcassonne, les Occitans, voyant Montfort  à  Castelnaudary, s’installèrent sur la colline du Pech ; tel fut le prélude du siège qui allait suivre,  au temps des vendanges, traîner en longueur après l’épisode de St Martin-Lasbordes pour finalement voir le triomphe de Monfort ; le chroniqueur P. de Vaux-Cernay le décrit entrant dans Castelnaudary,  allant pied-nus jusqu’à l’église pour chanter avec ses chevaliers le Te Deum de la victoire.

Le travail  remarquable, très fouillé,  de montage cartographique réalisé par Lucien Ariès, permit à l’assistance des 60 présents  de revivre les divers épisodes de ce premier siège de Castelnaudary  ;  il fut très chaleureusement applaudi par l’auditoire puis félicité par le Président qui forma le vœu de le voir revenir en 2020, nous exposer, de la même manière, ce que fut le 2ème siège, celui de 1220, au cours duquel les Méridionaux défendirent la ville contre les Croisés.


mardi 30 mai 2017

DE SAINT MARTIN LALANDE AU CASTELET DES CROZES - 20.05.2017


Notre sortie de printemps  a, cette année  encore, connu un succès total : la participation  (35 au départ auxquels vinrent s’ajouter quelques autres sur les lieux), le temps parfait, l’excellence de l’accueil aussi bien à l’église qu’au château.

 A Saint Martin Lalande, Mr  Bondouy,  Maire, nous attendait à 15H comme convenu dans l’église où Mme Edwige Brida avait été conviée par le Président pour nous présenter son travail de restauration des peintures murales du chœur puis de la nef de l’église placée sous le vocable de St Martin ; Francis Falcou indiqua que l’historique de l’église et du village avaient été faits par Alain Calmettes, médiéviste, enfant du village,  lors de la cérémonie du 5 février dernier, puis laissa rapidement la parole à Mme Brida qui expliqua  comment,  partie du chœur avec ses collègues), elle avait progressé jusqu’aux travées de la nef afin de retrouver cet ensemble très XIXème de décoration des peintures murales qui avaient bien souffert des outrages du temps,  notamment des gouttières ; elle exposa sa façon d’opérer pour respecter le travail des frères Pedoya dont elle a retrouvé la signature sur une voûte ainsi que la date  (1862)  : nettoyer d’abord les supports,  réparer les fissures dans le plâtre,  préparer les couleurs à base de poudre de pigments, décalquer les motifs à refaire à l’identique de l’existant, utiliser la chaux qui résiste mieux à l’humidité,  éviter les peintures acryliques et leur préférer celles à l’eau. S’agissant des personnages du chœur, elle a interrogé Francis Falcou pour retrouver leur identité ; si St Martin est facilement reconnaissable sur le mur  de droite dans  sa tenue d’Evêque,  il fallait savoir quelle était la sainte, à gauche, (Sainte Solange) tenant la palme du martyre ; Francis Falcou cita les recherches de l’Abbé Olivier Escaffit qui a recueilli les narrations  de  Solange Albigot  :  son ancêtre, Mme Codderens, fut le mécène qui finança toutes ces fresques ; les 4 autres à l’intérieur du chœur  sont l’allégorie des 3 vertus théologales  :  la foi (à gauche ,  une jeune femme tenant un calice et une grande hostie), l’espérance, à droite, (une jeune femme appuyée sur une ancre) et la charité, à gauche (une jeune femme prenant un enfant sous sa protection),  puis,  pour une raison d’équilibre, l’Eglise  (la 3ème à droite) ; le vitrail axial comporte 2 médaillons : en haut, St Martin partageant son manteau avec un pauvre au moment de sa conversion ; en dessous, célébrant une messe alors qu’il était devenu moine.

 Madame Brida fut vivement félicitée et applaudie ; elle indiqua  qu’il restait à restaurer la grande fresque au-dessus de l’entrée de l’église, représentant  vraisemblablement l’exaltation de St Martin ; Mr le Maire confirma,  dans son mot de la fin, la volonté municipale de terminer ces restaurations sous peu…

Au  Château du Castelet, Mr Claude Heilles, heureux propriétaire et membre de notre Association, nous fit,  avec une exquise courtoisie,  découvrir d’abord la façade du XVIIIème  siècle, fort bien restaurée , ornée de 2 médaillons,  portraits des constructeurs,  les Souliers,  le père à droite et son fils à gauche, de pots à feu et de guirlandes sur les pilastres du corps central. On s’avança ensuite pour admirer,  depuis la balustrade en marbre de Caunes, les splendides broderies  de  buis, après quoi sous la conduite de notre hôte, on descendit à la découverte commentée des différents  compartiments  :  les vergers, la roseraie,  le réservoir d’eau  :  une heure trente de ravissement .

Un ensemble insoupçonné,  à 2 pas de la ville,  témoignage de la réussite de la bourgeoisie  à l’époque de la révolution (la date de 1789 figure au fronton) et qui méritait bien d’être classé historique par arrêté du 21 Juillet  2000.                                     
















vendredi 24 mars 2017

COMPTE-RENDU DE L'ASSEMBLEE GENERALE DU 18 MARS 2017


Les membres des Amis de Castelnaudary  étaient toujours aussi nombreux, réunis à la salle Lauragais de la Maison des Associations pour leur Assemblée générale annuelle ; Mme Hélène Giral, Maire- Adjoint chargée du Patrimoine, Mr André Taurines, Conseiller municipal, par ailleurs membre de l’Association, représentaient la municipalité et le Capitaine Mettavant le 4ème R.E.

Le  Président rappela d’abord la disparition, à la fin de l’année écoulée, des 2 doyennes, Andrée Benoît et Christiane Moulis, excusa  6 absents et salua 6  nouveaux adhérents : Mme et Mr Paraire,  Mr Heilles, Mr et Mme Riu, Mme Ramseyer, de sorte que l’effectif se maintient toujours à 122 membres.

Il aborda alors l’ordre du jour avec le rapport d’activités, illustré du diaporama de Jean- Claude Décossin ; on put voir ou revoir les plus importants moments de l’année écoulée : la mise en place à la Mairie, du grand tableau restauré : le sommeil d’Antiope, présenté lors de la journée du Patrimoine ; la restauration du chapier, à la Collégiale ;  la cérémonie organisée avec le Souvenir Français, à Villepinte, en hommage au Général – Baron d’Empire Estève, dont nous avons fourni le portrait ; la restauration de la statue classée de la Vierge de Prouilhe, en l’église St François ; la sortie au château de Lagoual ; les journées du Patrimoine à l’apothicairerie et à l’Hôtel de ville ; la restauration de 2 tableaux  (dont un inscrit) à la salle Capitulaire de la Collégiale ; les conférences  de Bernard Velay et Colette Ourliac, très suivies, (60 participants) celle de Francis Falcou, dans le cadre du quarantenaire de la présence de la Légion, (200 auditeurs). Ce rapport fut adopté à l’unanimité.

Colette Ourliac présenta ensuite le compte financier d’où il ressort que nous avons effectué 14.800 € de travaux de restaurations de meubles et tableaux, dont 11.417 € sur nos fonds de réserve ; le compte fut approuvé à l’unanimité.

Le Président énonça alors les projets pour l’année : achèvement des travaux de restauration du mobilier et des tableaux de la salle Capitulaire à la Collégiale ; cette dernière tranche comportera le buffet droit du chapier et les 2 tableaux du mur ouest.

La sortie de printemps nous conduira de Saint- Martin – Lalande au Castelet des Crozès ; 2 conférences sont prévues à l’automne avec Lucien Ariès et Jacques Frey.

Au chapitre des questions diverses, le Président renouvela la demande effectuée l’an dernier d ‘un  éclairage économique (LED)  du cadran de l’horloge du faubourg, comme des arches du pont vieux et pont neuf qui méritent cette mise en valeur déjà expérimentée depuis 2 décennies ; il rappela aussi que le pied de jambage du porche d’entrée de la chapelle de Notre Dame de pitié n’est toujours pas restauré et que les 2 portails s’ouvrent avec difficulté ; il déplora le vandalisme dont a été victime  au pont vieux la croix  en fer forgé datée de 1804 et les inondations récurrentes des chapelles de la Collégiale .

Madame Giral, en conclusion, prit en note ces remarques et mit l’accent sur le bel aménagement du Quai du port, poursuivi par celui du Grand Bassin,  en cours : tout doit être mis en œuvre pour valoriser le plus beau site de Castelnaudary.

samedi 12 novembre 2016

QUAND LES LABORATOIRES SOUVIGNET ET HOMPS NOUS SOIGNAIENT


COMPTE – RENDU DE LA CONFERENCE du 5 NOVEMBRE 2016
La salle Lauragais de la M.D.A était quasiment comble pour écouter Colette Ourliac et Francis Falcou évoquer ce que furent les activités des Laboratoires Souvignet et Homps dans le domaine de la pharmacie au siècle dernier. Mr Patrick Maugard, Maire, honorait de sa présence cette soirée.

Francis Falcou rappela d’abord les précédentes recherches de Colette Ourliac dans ce domaine depuis 20 ans, au sein de notre Association : l’ étude des 122 pots Moustiers de l’apothicairerie de l’hôpital publiée en 1997 et épuisée ; les notices sur le mobilier découvert à l’apothicairerie, toujours, en 2001, la mise en place des verreries, la présentation de l’herbier, la conférence sur les maux et leurs soins dans les hôpitaux de Castelnaudary en 2005, l’exposition des photos des 22 plus belles apothicaireries de France en 2009, etc...

ll rappela l’étude du Docteur Jean Mordagne publiée en 1904, concernant les apothicaires de Castelnaudary au XVIème siècle, la manière de devenir diplômé, d’exercer ce métier, l’existence de remèdes secrets…  C’est à partir de l’exposition organisée aux Archives de l’Aude d’Avril à septembre 2014 que l’idée de la conférence du jour est venue aux 2 conférenciers  désireux d’utiliser des documents en leur possession, notamment le catalogue des Laboratoires Souvignet. 

Colette Ourliac se livra alors à l’étude du dit catalogue présenté grâce au diaporama de Jean- Claude Décossin  : une belle page de couverture organisée autour de la figure de Jean Souvignet avec des annonces importantes : Dépôt général des remèdes de l’Abbé Sournies chez le pharmacien Spécialiste médaillé de l’Ecole de médecine et de pharmacie, chevalier de la Légion d’Honneur,  et la mention en capitales : Laboratoires Chrétiens. Suit la publicité de la SANTIFERE, un remède du XVIème siècle d’après une formule des moines de Sigean ….. or les Capucins ne se sont installés à Sigean qu’en 1726… Le remède  procure bien sûr à ceux qui le prennent une santé de fer !                                     

L’Abbé Sournies serait un savant botaniste, ce qui a conduit Francis Falcou à chercher à connaître sa biographie. Les archives de l’Evêché nous apportent un minimum de renseignements  : sa date de naissance, le 10 février 1870 à Ladern et la liste des paroisses où il a exercé son ministère : Alet, Villardebelle, Rieux en Val et enfin Villemagne, le 1er Mai 1895, où il décéda le 21 octobre 1944. Nous ne savons rien de ses études alors que nous aurions aimé connaître comment il avait acquis sa connaissance des plantes lui permettant de devenir « le soigneur » dont Jean Souvignet reprendra et commercialisera les produits...

Nous sommes  par contre bien renseignés en ce qui concerne Jean Souvignet car Francis Falcou a pu entrer en relation avec sa fille et sa petite-fille, Barbara Souvignet et Marie Serna (Professeur à H.E.C. à Paris) par l’entremise de Mme Gertou, ancienne employée des Laboratoires. Jean Souvignet est né à Saint-Etienne le 5 juillet 1884 mais il vint vivre à Lyon à la suite du second mariage de sa mère avec un pharmacien de cette ville ; étudiant en pharmacie à Lyon, il sera stagiaire dans plusieurs officines, puis interrompra ses études pour aller à Genève et Lausanne ; de retour à Clermont-Ferrand, il obtient son diplôme de pharmacien et s’installe dans le Puy de Dôme.

Mobilisé durant la 1ère guerre mondiale, il sert comme pharmacien dans les trains sanitaires ; rendu à la vie civile, il quitte l’Auvergne et acquiert à Castelnaudary la pharmacie Roques située 11 rue Gambetta qu’il transfèrera au 3 de la même rue pour s’agrandir ; il acquiert ensuite une propriété route de Pexiora, Bagatelle, sur le terrain de laquelle il va construire ses laboratoires pour fabriquer des produits dont il a mis au point les formules ; le 1er juillet 1933 il dépose au greffe du Tribunal de commerce de Castelnaudary la marque : La Santifère, tisane inventée par l’Abbé  Sournies ; ses laboratoires occuperont une trentaine de personnes, seront en sommeil pendant la seconde guerre mondiale mais reprendront leur activité après la libération jusqu’au décès de Jean Souvignet, le 17 décembre 1960. 

Colette Ourliac a étudié le catalogue des produits qu’il proposait, outre la Santifère, et remarqué qu’ils font souvent référence au domaine religieux : l’embrocation Ambula guérit « de façon miraculeuse », la pommade Lactiflore, la tisane Salviflore sont des préparations qui guérissent là où les autres ont échoué ; avec le sirop Pulmo-Sournies, le malade « reprend des forces et renaît à la vie  » La composition des préparations est rarement indiquée mais il en existe 3, celle des pastilles Sournies à base de miel, de réglisse et d’essence d’eucalyptus, la tisane Salviflore contient de la sauge et la tisane uroflore de la livêche et de l’ononis. Jean Souvignet propose aussi le Baume Saint-Marc, les emplâtres rouges de Sœur Claudia de l’Ordre de la Miséricorde du Brésil, le laxatif Toméo en pastilles chocolatées pour aider la prise par les enfants ; la poudre Rosalba qui soigne les problèmes féminins ; l’eau royale du Lys d’or qui est le soin incontournable des problèmes oculaires.

Le catalogue indique les prix et cite des courriers de satisfaction qui prouvent que les ventes étaient bien établies à travers la France.

 Jean Souvignet se révèle être un pharmacien habile ; il a construit autour d’une exclusivité : les remèdes de l’Abbé Sournies, une stratégie commerciale très cohérente qui diffuse ses autres produits ; il a soulagé bien des maux, sa mission de pharmacien a été remplie.

Non loin de la pharmacie Souvignet, au 60 de la rue de Dunkerque se trouvait la pharmacie Homps (aujourd’hui Tignol) qui possédait aussi un laboratoire fabriquant des spécialités et était le dépositaire des laboratoires Opos : Aubéliode, Oposséine, Rhumofan ; il nous a été impossible d’avoir une biographie  du dit pharmacien qui n’est pas né ni enterré à Castelnaudary ; aucun dossier le concernant n’est conservé au Conseil de l’Ordre des pharmaciens ; l’histoire orale nous a permis de savoir qu’il possédait des terres à Saissac et Villemagne où il est enterré ; un article de presse du 22 octobre 1975 rapportant un jugement du Tribunal de Narbonne nous apprend qu’il était né en 1909. Des généralités insuffisantes mais qui ne nous ont pas empêchés de nous intéresser à ses produits. Il proposait entre autres le vin d’amour dont la composition stimulante, riche en caféine, tonique du coeur, ne fait aucun doute quant à ses heureux effets !...

Une malencontreuse panne de batterie nous a privés des 3 dernières illustrations qui montraient les boîtes d’Oposséine et une mystérieuse pastille blanche vendue dans une boîte sans indication ; on lisait sur une face de la pastille : Menthol, Borax, Cocaïne …..

            Francis Falcou concluait en citant Anton Tchekhov : « la science et les médicaments évoluent avec les années mais l’odeur des apothicaireries semble aussi éternelle que la matière »

Invité  à dire le mot de la fin, Mr le Maire racontait une anecdote selon laquelle le pharmacien-paysan  s’était présenté aux élections cantonales contre le Maire de Villemagne, conseiller général sortant, et n’avait obtenu …. Aucune voix, pas même la sienne lors du dépouillement !








dimanche 25 septembre 2016

Succès des journées du Patrimoine - 18 Septembre 2016


Une nouvelle fois, les Chauriens n’ont pas boudé les journées du Patrimoine.

Le Samedi 17 septembre 80 personnes se pressaient à l’Hôpital pour découvrir l’Apothicairerie sous la conduite de Colette Ourliac et Francis Falcou ; après la présentation  générale par le Président, Colette Ourliac  expliquait les divers intérêts de ces pots, témoignages de la pharmacopée du XVIIIéme siècle et s’attardait sur quelques exemples comme la célèbre Thériaque, les huiles de vers de terre ou de petit chien, le sang de dragon ; elle montrait le travail de l’Association : réalisation des vitrines contenant les verreries, présentation de matériel légué : le saccharoliseur dont elle expliqua le fonctionnement, la calibreuse à suppositoires, celle à cachets, le mortier en bronze, le trébuchet ; Francis Falcou  montra les publications  de Colette Ourliac qui ont fait connaître l’apothicairerie dans toute la France et dont la réédition  s’impose puisqu’elles sont épuisées.


Dimanche 18  on dénombra 50 auditeurs à l’Hôtel de Ville pour voir le diaporama de Jean- Claude Décossin montrant le travail de restauration, par Céline Stivanin, des Tableaux ornant la salle du Conseil municipal  et l’escalier conduisant au 1er étage ; ce travail, initié par l’Association et financé par elle, commencé en 2011, et terminé cette année,  a reçu les félicitations des présents et les remerciements du Docteur Sol, Maire – Adjoint qui représentait la municipalité avec  Sarah El Kahaz et André Taurines. La police municipale veillait au bon déroulement de la visite.